Un pays Normal est un pays qui assure pleinement sa souveraineté et son indépendance nationale pour construire le bonheur et le bien être de sa population. Dans ce cas il doit assurer la santé, l’éducation, la formation, les conditions de logement et d’emploi pour sa jeunesse bref en veillant à l’épanouissement collectif de sa propre population. Le « normal » que nous évoquons ici est ce qui est conforme à la norme et qui n’est pas exceptionnel. Qu’un père d’une famille de trois enfant paye le loyer et donne de l’argent pour faire à manger chaque fin de mois à la maison est tout à fait normal.
Voilà pourquoi nous disons qu’il y a des pays qui ont depuis longtemps pris congé de la normalité. L’Afghanistan, la Somalie, la République centre africaine (RCA) ou la République Démocratique du Congo (RDC), sont des pays où l’autorité de l’État n’existe plus depuis belle lurette, où des populations divisées s’acharnent comme des hyènes sur ce qui en reste de l’État pour le dépecer et festoyer sur le ruine de ce qui était hier encore leur mère patrie.
La Côte d’ivoire ne peut pas prétendre donner des leçon de gouvernance sans balayer devant sa propre porte avec des prisonniers politiques jusqu’aux toits des prisons une réconciliation nationale introuvable et un chef d’État commis voyageur à la recherche de la croissance à crédit dans un environnement de tribalisme et de népotisme sans fin.
La difficulté de tous ceux qui veulent apprécier la réalité ivoirienne se trouve dans leur propre regard. Ils apprécient ce pays comme une République normale et ne comprennent plus rien à la nouvelle dimension de l’évolution de la société ivoirienne. C’est comme si vous demandez à une femme stérile pourquoi elle ne fait pas des enfants.
Ouvrons les yeux pour comprendre, si les oreilles ne nous servent plus à rien. La vie économique et sociale n’est plus depuis longtemps fécondée par un dialogue fraternel qui prend en compte l’épanouissement collectif de tous les Ivoiriens. La stérilité à comme un cancer envahie les organes de fonctionnement de l’État.
La vie politique et les institutions sont frappées de stérilité et incapables de féconder la normalité de l’État et le bonheur commun. Nous faisons ici le pari malgré tous les noms d’oiseaux et les menaces de morts qui viendront vers nous que le pire est devant pour ce pays. L’incapacité de réconcilier les Ivoiriens, l’État partiale et parcellaire avec ceux qui ont tous les droits et ceux qui n’en n’ont pas ne peuvent que conduire à des révoltes et des risques graves de dégradation, ainsi qu’à des pertes de vies humaines sans parler des biens publics et privés qui iront en fumé.
Un pays normal et vivable pour tous
Dans un pays normal, le président de la république est le garant de l’harmonie du corps social de la nation, il arbitre et se précipite avec empressement dès qu’une situation conflictuelle peut nuire à l’unité et à la cohésion sociale du pays. Chez les ivoiriens c’est toujours le chef d’Etat qui se dit le président de tous qui va chercher dans les immondices le virus destructeur du pays dont-il est le premier responsable.
Le président Bédié et son « ivoirité », Alassane Dramane Ouattara et son rattrapage ethno tribal, régionaliste et religieux. Une armée en totale déliquescence avec des groupes de « dozos » comme supplétifs de l’armée du pays sans que cela ne dérange les institutions et le pouvoir politique du pays. Mais le plus grave, le fonctionnement de l’État ne donne plus de lisibilité au citoyen qui livré à lui-même se résout à se réfugier dans son groupe ethnique. Qui devient par la faute même de la gouvernance son socle protecteur.
Ainsi quand on a échoué à un concours, c’est parce qu’on n’est pas du bon groupe ethnique. Si un fonctionnaire est affecté dans une région hostile à son groupe ethnique, il refuse d’y aller au point où on trouve aujourd’hui des écoles sans maîtres, des collèges sans professeurs. La normalité quitte peu à peu et strate après strate l’espace publique pour finalement laisser au citoyen un État désossé et vidé de son sang. C’est le visage hideux que nous offre la Côte d’Ivoire d’aujourd’hui.
Dans un pays qui se dit normal
- Dans un pays normal les ordures ménagères sont ramassées pour être incinérées ou emportées vers une décharge prévue à cet effet. En Côte d’Ivoire une montagne d’ordure peut se trouver devant une Mairie pendant des mois sans que personne ne bouge. La Mairie et le District se renverront la responsabilité sans penser à la puanteur, aux épidémies et à l’inconfort des riverains. Le Maire lui sera réélu car il est du bon groupe ethnique.
- Comment doit se sentir le citoyen ivoirien quand il constate que les 90% des personnes admises aux concours de recrutement de la fonction publique, sont originaires du groupe ethnique du président de la République ?
- La plus grande honte de beaucoup d’entre nous c’est notre incapacité à donner de l’eau potable à nos populations. Il suffit de visiter nos villages pour se rendre compte que les eaux jaunâtres, les eaux gluantes, les eaux souillées, les eaux boueuses sont aujourd’hui encore consommées par nos populations dans un pays qui se dit normal. Dans certains quartiers d’Abidjan on a recours aux camions citernes pour alimenter la population en eau. Abidjan aura dix millions d’habitants dans dix ans ; l’urgence de l’approvisionnement en eau va se poser avec acuité et personne n’en sera responsable.
- La dégradation du réseau routier et de la voirie dans nos grands centres urbains est plus que déplorable. On dirait qu’il y a longtemps qu’on a oublié que la route est un outil de communication qui favorise la circulation des personnes et des biens. Pourquoi ne pas avoir associé l’expertise du Bureau National d’Études Techniques et de Développement (BNETD) à l’attribution des marchés publics concernant la réfection des voies urbaines dans la ville d’Abidjan ? Le bitume qui s’effrite à la moindre goutte de pluie est le résultat d’un travail mal fait par un opérateur qui ne sera jamais poursuivi et qui pourtant obtiendra d’autres marchés publics.
- Ne parlons même pas d’assainissement, l’évacuation des eaux de pluies n’intéresse personne. Les services existent mais n’ont aucun moyen matériel pour agir efficacement contre les inondations. Comment repenser aujourd’hui et maintenant l’évacuation des eaux usées à Koumassi, à la Riviera Palmeraie ou à Yopougon pour que ces quartiers retrouvent un semblant de normalité ?
- Les hôpitaux sont devenus des mouroirs en Côte d’Ivoire. Le manque de médicaments et les pannes répétées de l’appareillage médical surexploité et non entretenu, font que vous êtes obligés d’aller dans une clinique privé pour un examen médical par IRM (Imagerie par Résonance Magnétique), une radio, une mammographie, une endoscopie, une échographie prostatique ou pelvienne. Les médecins sont pour la plupart des collaborateurs des cliniques privées tout en travaillant pour les hôpitaux publics.
- Que nos contradicteurs pour qui nous avons du respect essaient d’aller visiter un service de pédiatrie dans un hôpital public ivoirien, ils verront de leurs yeux les miracles que font le corps médical avec un matériel vétuste datant de Mathusalem ou d’aller voir l’état lamentable des couveuses dans un service de médecine néonatale et ils comprendront mieux Le désarrois des malades, dans un environnement où il manque de tout y compris les simples compresses. Tout cela fait de l’hôpital un mouroir. Voilà pourquoi le Président de la République et les membres de son gouvernement vont se faire soigner à l’étranger pour avoir des soins de bonne qualité.
- Une image réelle existe pour prouver la déliquescence de nos hôpitaux publics ivoiriens. La précédente constitution obligeait les candidats à la présidence de la République à se soumettre à un examen médical approfondie devant un collège de médecins ivoiriens. Nous fûmes tous étonnés de voir qu’aucun hôpital public de Côte d’ivoire n’avait sur place les outillages nécessaires pour réaliser tous les examens en son sein.
- Tous les candidats furent orientés vers une clinique privée d’Abidjan sans que cela ne pose un problème moral à l’État. Quant à l’assurance maladie ni le ministre de la Santé publique et personne ne peut nous dire aujourd’hui quand il prendra effectivement forme. Nous parlons ici de choses graves qui se déroulent sous les yeux d’un peuple traumatisé par la violence de son propre quotidien.
- Ne parlons même pas de l’Université d’Abidjan, qui n’a ni le WI-FI ou un simple groupe électrogène en cas de coupure du courant électrique pour le fonctionnement de ses laboratoires de recherches et le conditionnement des échantillons et autres prélèvements scientifiques. L’image minable des amphithéâtres devenus des dortoirs car les cités universitaires occupées par les « gogos » et les « zozos » ne seront jamais réhabilités, telle est la condition de l’étudiant ivoirien aujourd’hui.
Peut-on parler de tourisme en Côte d’Ivoire ?
La Côte d’Ivoire à de très beaux sites touristiques, la diversité de sa population, son littoral maritime, son réceptif hôtelier, la diversité de ses régions et de ses ressources favorisent un tourisme humain capable d’être un facteur de plus-value économique pour l’État et les populations locales. Mais comme ce pays transforme toujours ses avantages en handicapes, le tourisme ivoirien est en recul par rapport au Ghana voisin.
Pour favoriser le tourisme dans un pays il faut mettre d’abord l’accent sur la sécurité de celui qui vient visiter ce pays. La quantité énorme d’armes en circulation dans ce pays où des Commissariats de Police et des Brigades de Gendarmerie sont souvent attaqués. Un pays qui a désarmé sa propre Police au nom de mesquins petits calculs de politiques politiciennes en sachant qu’il y a de nombreuses caches d’armes disséminées un peu partout sur son territoire. Un tel pays ne mérite pas un seul touriste. À moins d’être fou il ne faut pas y mettre les pieds. Les coupeurs de route sont au paradis en Côte d’Ivoire.
Pour ceux qui veulent y aller, sachez, que des hôtels sont attaqués de nuit par des bandits, les portes sont fracassées à la hache et les clients dépossédés de tous leurs biens. Il est pratiquement impossible à un Européen aujourd’hui de se promener de jour ou de nuit à Abidjan sans s’exposer à une agression. Les parcs nationaux sont dans un état lamentable, les grandes villes de l’intérieur du pays sont envahies par des décharges sauvages qui ne dérangent personne.
Les maladies comme la tuberculose et la fièvre typhoïde, ont fait un retour en force dans un pays qui prend progressivement congé de la normalité. Son président peut voyager, discourir ou manger à la table du Pape si cela lui fait plaisir en réalité il est le Président d’un pays bizarre où l’espérance n’habite que les gens de son groupe ethnique et religieux. Il croit que les Ivoiriens se nourrissaient de la croissance virtuelle et pompeuse, qu’il célèbre à tout vent. C’est un homme qui vit hors du temps avec sa femme dans un palais loin d’un peuple qui souffre car orphelin de lui-même.
Les braquages se multiplient dans le pays, au lieu de poursuivre les bandits on préfère mettre un policier pour surveiller chaque pro-Gbagbo et remplir les prisons jusqu’au toit de ceux qui ont soutenu Laurent Gbagbo et sa Refondation. Bien sûr qu’il y a beaucoup à dire sur eux mais est-ce vraiment ce que ce pays a besoin pour se rassurer lui-même et attirer des touristes dans un environnement accueillant ? Les forêts classées transformées en plantations et villages, des animaux protégés devenus des méchouis devant des Gardes forestier désarmés, comment ce pays peut-il aujourd’hui s’ouvrir au tourisme ?
Tous les pays africains souhaitent attirer des investisseurs, mais oublient que personne ne viendra mettre son argent dans un pays portant dans son corps social, des menaces confligènes. Une grande quantité de jeunes sans emploi, une population en situation précaire dans un pays corrompu jusqu’à la moelle par une élite politique clanique, tribaliste, hautaine médiocre et méprisante pour le reste de la nation ? Nous parlons ici de faits et demandons à nos contradicteurs de les vérifier sur place avant de nous adresser leurs injures et autres menaces de bazars.
Postulat de Conclusion générale
Celui qui écrit ces lignes veut porter la plume dans la plaie, le malheur des gouvernements africains est leur allergie à la moindre critique. Ils y voient tout de suite un opposant, ou les agissements d’une officine recevant l’argent malodorant de Mouammar Kadhafi et quoi encore. De Juvénal Habyarimana à Mobutu, de Samuel Doé, au Général Moussa Traoré, en passant par Blaise Compaoré et son frère Alassane Ouattara, l’histoire nous enseigne que la brutalité policière, la prison, la pendaison, le meurtre le refus de l’unité et de la cohésion nationale, le tribalisme et la corruption ne font jamais le bonheur d’un pays.
Obliger une partie de ses concitoyens à baisser la tête et à vivre chez eux comme des hérétiques finis toujours très mal. Par la révolte, le sang, la violence et des morts. Mobutu voulait que les partisans de Patrice Lumumba vivent la tête basse pour le reste de leur vie. Où est Mobutu ? Habyarimana avait divisé le Rwanda en Hutu et Tutsi ; où est Habyarimana aujourd’hui ? William Tolbert et les Afro-Américains avaient séparé le Liberia entre les autochtones et les honorables. Regardez le résultat de cet immense gâchis.
Blaise Compaoré et son Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) n’ont apporté que le meurtre et le sang dans un Burkina qui ne voulait qu’un mode de vie simple dans une solidarité nationale qui prend en compte la dignité de tous. Non loin de là, la dynastie des Éyadema et fils a fait du Togo un pays où l’espoir ne pousse plus.
Toutes ces expériences historiques sont sous nos yeux et montrent en grandeur nature l’échec du copinage, du tribalisme et de l’ethnie comme projet de société. Les sacrifices maraboutiques de bœufs en bordure de lagune ne changeront rien. La malédiction qui frappa le pharaon de l’exode, Ramsès II, plane encore sur la tête de nos malheureux dirigeants politiques africains. Dans leur entourage on trouve des gens d’une grande lucidité. Ils sont conscients que le système tel qu’il fonctionne n’a pas d’avenir dans le temps.
Mais pourquoi sont-ils alors autour du dictateur ? La réponse est simple, pour bénéficier des facilités et autres avantages que le pouvoir offre à ses courtisans. La réconciliation nationale n’est donc pas à l’ordre du jour en Côte d’Ivoire. Alassane Ouattara y voit un danger si cela devait se réaliser. La force rien que cela pour que le PDCI-RDA à la remorque du RDR, soient dans une logique de conservation durable du pouvoir. Immense cécité découlant d’un aveuglement sans nom. Exactement comme Konan Bédié croyait être le président à vie de la Côte d’Ivoire.
Nelson Mandela nous disait hier encore que « la réconciliation nationale veut dire, travailler ensemble pour rectifier l’héritage injuste du passé. » Si ouvrir un dialogue social pour renforcer une culture de paix est une mauvaise chose alors nous éprouvons de la pitié pour les conseillers français qui avaient poussé Mobutu et Habyarimana dans cette voie sans issue. Réhabilité la citoyenneté pour renforcer le vivre ensemble ne peut qu’être bénéfique pour l’ensemble des Ivoiriens. Quand un conflit foncier éclate à l’Ouest du pays et que le gouvernement ne bouge pas laissant aux FRCI, aux « zozos » et autres « Dozo » de se défouler sur un groupe ethnique précis il y a de quoi avoir honte d’être Ivoirien. Quelle considération le citoyen doit-il avoir pour un gouvernement sur qui il ne peut espérer aucune protection?
Notre frère l’Ambassadeur George François Ouegnin, nous avait dit qu’il était à genoux aux pieds du Président Henri Konan Bédié, le suppliant de libérer dans un esprit d’apaisement les dirigeants du RDR emprisonnés à la MACA. Bédié frappé de la même cécité que le pharaon Ramsès II, devant Moïse, ne l’écouta même pas. Nous connaissons la suite.
Alassane Ouattara est dans la même logique et rien ne changera. Toutes les rhétoriques conduisant au pardon et à la réconciliation comme marche vers la liberté, la pacification et l’unité d’une société ivoirienne déchirée ne serviront à rien devant un Alassane Ouattara foncièrement méchant, hautain, méprisant et très sûr de lui-même.
Il est exactement dans le même état psychique et psychologique que Soumaoro Kanté à la veille de la bataille de Kirina en janvier 1235 dans la plaine de Koulikoro. Alassane Ouattara est un civil et pourtant, on retrouve bizarrement chez lui la même dose de méchanceté, de cynisme de cruauté et de froideur criminelle comme chez les militaires que sont Augusto Pinochet, Mobutu et Blaise Compaoré. Ouattara est-il un assoiffé de sang comme un vampire ? C’est une des grandes énigmes que nous continuons d’explorer.
La remise des dettes par le législateur et poète athénien, Solon, nous enseigne qu’il préférait la réconciliation à la confrontation. L’obligation qu’à un pays comme la Côte d’Ivoire d’administrer la justice, ne peut être remplie dans l’absolue sans prendre en compte les autres fonctions de l’État, dont les plus importantes sont de garantir que les citoyens vivent ensemble dans la paix et d’encourager le développement de la communauté nationale dans un contexte de paix et de sécurité pour tous. Les mutineries et les braquages à répétition que la Côte d’Ivoire a connue récemment prouvent qu’il y a beaucoup à faire pour aller vers l’harmonie dans la Nation ivoirienne.
Comme hier à Blaise Compaoré, nous disons aujourd’hui à Alassane Ouattara, que laisser derrière nous les sombres événements de la crise post-électorale n’est pas un acte de condescendance irresponsable. C’est plutôt la condition que nous devons remplir pour devenir une famille ivoirienne solidaire de toutes ses composantes dans une solidarité réelle et agissante. Rejeté la division en deux que la vie politique actuelle impose aux Ivoiriens à travers le passé récent.
Ce n’est qu’après que nous ayons reconstruit ce front uni que nous pourrons ensemble regagner l’énergie dont nous avons besoin pour être une véritable Nation, avec une véritable destinée. L’idée centrale de ce temps-ci est une véritable réconciliation nationale. C’est ce que Faure Essozimna Gnassingbé avait refusé avec toutes les conséquences qu’il voit sous ses propres yeux aujourd’hui.
Il appartient à Alassane Ouattara et à l’Exécutif national de créer les conditions propices à un scenario qui conduit toutes les composantes de la société ivoirienne vers une réconciliation nationale dans laquelle le pardon mutuel, la paix et l’unité nationale seront au-dessus des considérations mesquines sordides et tribalistes qui nous ont conduit dans les impasses du temps présent.
L’expérience de vie sous une junte criminelle et militaro fasciste a permis à Michelle Bachelet, qui a connu avec sa famille la torture et la prison sous le régime d’Augusto Pinochet, avant de devenir présidente de la République chilienne en 2006. De nous dire que pour renouer avec la normalité dans un pareil cas, « on doit prioritairement préserver l’intérêt général et ensuite, Il faut choisir d’être citoyen de la communauté nationale qui protège et assure l’épanouissement de tous les citoyens. »
Ce n’est malheureusement pas le cas pour l’instant dans ce pays normal qu’est la Côte d’Ivoire. Merci de votre aimable attention.
Dr Serge-Nicolas NZI
Chercheur en communication
Lugano (suisse)
Email : nicolasnzi@bluewin.ch