Devant les images, quasi quotidiennes de bateaux, chargés de « migrants » majoritairement originaires d’Afrique subsaharienne, secourus en Méditerranée, puis débarqués à Naples et en Sicile, nous sommes nombreux à nous poser des questions, à trouver étrange cet afflux incessant.
Que cache ce flux ininterrompu de « migrants » qui déferle sur le continent européen, cet exode sans fin, notamment en provenance d’Afrique ? L’Italie, l’Espagne, Malte et la Grèce, pays en première ligne, sont submergés par le nombre de réfugiés. Les populations exaspérées doivent subir ces migrants en colère, déçus de ne pas obtenir immédiatement leurs papiers.
Déception qui se traduit de plus en plus par la violence et l’exigence arrogante de leurs « droits » à peine débarqués !
A se demander si cette gigantesque migration n’est pas organisée en amont par des recruteurs de l’UE, envoyés sur place pour inciter les jeunes Africains à venir en Europe en leur faisant miroiter un avenir de rêve : travail bien rémunéré (ou rémunération sans travailler), logement moderne, obtention rapide et facile de papiers, acquisition immédiate de tous leurs droits une fois le petit doigt de pied posé sur le sol européen.
Peut-on sérieusement croire que ces réfugiés arrivés du Kenya, du Ghana, du Sénégal, de Côte d’Ivoire, de Gambie, du sud Mali, du Tchad, du Cameroun, du Maghreb, d’Irak et de Syrie, qui prétendent fuir la misère, la guerre, la faim, disposent des milliers de dollars nécessaires pour financer leur voyage ?
Combien de djihadistes de l’Etat islamique débarquent parmi ces migrants, obsédés par le rêve de conquérir Rome, prêts à semer la terreur et la mort sur le sol européen, à l’appel de leur calife ?
Peut-on vraiment croire en leur récit larmoyant, relayé des centaines de fois par les chaînes de télévision et les médias, quand, une fois arrivés en Italie, ils se montrent arrogants, jettent la nourriture qui leur est offerte, exigent des «droits humains» comme l’air conditionné – oui, ne riez pas, l’air conditionné est un droit humain pour les migrants africains même si leurs voisins nés sur place ne l’ont pas – des vêtements à la mode, de l’argent, la wifi, se plaignent de leurs conditions de logement dans leurs hôtels 4 étoiles, des moustiques, de la chaleur, de l’eau trop chaude, de la saleté des chambres ?
Celui qui fuit réellement la guerre, la misère, la faim et la persécution se montre reconnaissant de l’accueil, et apprécie l’aide qui lui est apportée. La différence d’attitude entre les familles de Chrétiens d’Orient qui arrivent au compte goutte, priorité étant accordée aux musulmans, et celle des migrants africains, le plus souvent jeunes et célibataires, est frappante.
Dès lors, nous sommes en droit de nous demander si derrière le charitable prétexte officiel d’aider ces migrants à la recherche d’une vie meilleure, il ne se cacherait pas une autre réalité : la mise en place d’un plan cynique et effrayant : la submersion démographique de nos pays par des peuples venus d’ailleurs, la mort programmée des européens de souche, devenus has been, la disparition de notre civilisation judéo-chrétienne, de nos racines, de notre histoire, de notre passé.
Le sinistre projet d’islamisation de l’Occident d’Eurabia, l’application progressive et docile du plan Kalergi, l’un des pères fondateurs de l’UE, le plus discret, mais non le moins dangereux dans sa vision d’un monde nouveau, semblent être à la base de toute la politique européenne pro-islamisation et pro-immigrationniste des dernières décennies.
Kalergi fonda à Vienne en 1922 le mouvement «Paneuropéen», qui visait l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis.
Dans son livre « Praktischer Idealismus * », Kalergi déclare que les habitants des futurs “Etats Unis d’Europe» ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux. Il y détaille le plan du génocide européen actuellement en cours.
- Selon Kalergi, les peuples européens devaient être métissés avec les noirs et les asiatiques pour détruire leur identité et créer une race unique métissée, facilement manipulable par une caste supérieure, celle de la «noble race» constituée d’élites supranationales, appelées à régir un monde homogénéisé, abêti et métissé.
Son idée obsessionnelle du métissage s’appuie sur une thèse raciste : Kalergi affirme que la cruauté des métisses n’a d’égale que leur servilité. Par conséquent, cette nouvelle race serait facile à manipuler. Elle ne se révoltera jamais, en tout cas pas tant que les «mangeoires» seront pleines.
La deuxième partie du Plan Kalergi prévoit la suppression tout aussi progressive du principe de démocratie et d’égalité devant la loi.
On continuera bien entendu à sacraliser ces deux notions, mais dans le seul but d’en faire des instruments de pression sur les masses. La démocratie sans le peuple et l’égalité de type orwellien, si l’on veut une analogie plus moderne, seront complétés par la suppression du principe d’autodétermination des peuples.
N’est-ce pas exactement ce que l’on constate aujourd’hui ?
Nicolas Sarkozy n’a-t-il pas, lors d’un discours politique en 2008, intimé l’ordre aux Français de se métisser en ajoutant : «si cela ne fonctionnait pas, il faudra alors que la République passe à des méthodes plus contraignantes encore »
Le plan «Coudenhove-Kalergi» pour une Europe sans Européens est bien détaillé dans la vidéo ci-dessous :
Le plan « Coudenhove-Kalergi » en marche pour… by busimex
Et pour illustrer cette volonté de créer une nouvelle Europe sans européens de souche, avec l’appui d’ex-clandestins parvenus au pouvoir, j’aimerais parler brièvement de Madame Cécile Kyenge, l’emblème et la figure de proue du Grand Remplacement en Italie et en Europe, une Taubira transalpine, ennemie féroce de l’identité italienne et européenne.
Les idées défendues par Cécile Kyenge, ophtalmologue de profession, ex-clandestine congolaise, devenue italienne par mariage, puis ministre de l’intégration sous le gouvernement Letta, aujourd’hui responsable de l’UE pour l’immigration, semblent inspirées directement du plan Kalergi.
Le Parlement européen a confié à Cécile Kyenge le rôle de co-rapporteur – avec le Maltais Roberta Metsola – sur «l’initiative stratégique concernant la situation en Méditerranée et la nécessité d’une approche globale de l’immigration dans l’UE».
Se définissant comme une femme noire et fière de l’être, Cécile Kyenge a reconnu être entrée illégalement sur le territoire italien, et créa la polémique en disant vouloir supprimer la notion d’immigration clandestine en Italie.
Issue d’une famille de 38 enfants, nés des quatre femmes de son père, pourtant catholique, la ministre a affirmé que l’Eglise devait apprendre à s’adapter au monde, en d’autres termes, accepter la polygamie :
« Grandir avec tant de frères et soeurs m’a donné l’impression de vivre dans une communauté. Cela facilite les relations avec l’autre partie de la société, en dehors de la famille« .
Apologiste des bienfaits de la polygamie, elle n’a jamais caché son intention de l’instaurer en Italie.
Pour Cécile Kyenge, «l’Italie est pays métis et multi-ethnique ». Elle souhaite plus d’africains en Italie et en Europe, vœu sur le point d’être exaucé grâce à la folle politique immigrationniste de l’UE.
Si elle aime tellement être entourée de noirs, ne devrait-elle pas rentrer au Congo et mettre ses talents d’ophtalmologue au service des gens de son pays d’origine ?
«I have a dream» de Cécile Kyenge n’est pas une Afrique économiquement forte, où les peuples pourraient enfin vivre dans la justice et la paix, mais … un président noir en Italie !
Voila ce qu’avait déclaré Cécile Kyenge, ex ministre de l’intégration et euro-parlementaire du PD, à Radio 24 :
« Je voudrais un noir au Quirinal et, avec un président de couleur, tous ceux de la Lega mourraient d’infarctus »…« Pourtant, parmi les divers candidats dont on parle, je n’en vois aucun de couleur ou même d’origine étrangère, ce qui serait un pas en avant. Maintenant, je suis sûre, ma page facebook va se remplir d’insultes ».
Elle a fait intensément campagne en Italie pour que les enfants d’immigrants deviennent citoyens italiens dès la naissance.
L’idée qu’il ne puisse exister des italiens noirs la révulse !
Elle travaille actuellement à l’interdiction des partis qui défendent les européens de souche, non seulement en Italie mais dans toute l’Europe.
La Dame de l’Inquisition antiraciste de l’UE, de plus en plus virulente dans ses exigences, a détaillé son programme de lutte contre les partis patriotes italiens et européens :
- sanction économique sous forme d’une amende à payer à l’État pour les particuliers comme pour les partis ;
- emprisonnement : « une mesure extrême qui doit cependant être prise en considération » ;
- interdiction de se présenter aux élections pour les partis ou les groupes politiques ;
- et, en dernière analyse, rien de moins que la mise au ban de la société pour «quiconque discrimine de quelque manière que ce soit doit être éloigné des institutions et de la société » (Affaritaliani.it)
- Le racisme anti-blanc, pourtant virulent au sein des migrants africains, n’est point sa priorité.
Cette dame, qui doit tout à l’Italie son pays d’accueil, le remercie en œuvrant à son africanisation, au remplacement de ses habitants de souche par des africains, car selon elle, l’italien, l’européen idéal de demain sera noir ou métisse…
Combien de futures Cécile Kyenge débarquent actuellement sur les rives siciliennes ?
Les Européens de souche, diabolisés, coincés entre le marteau de l’islamisation et l’enclume de l’immigration, seraient, selon les «élites de la caste supérieure», appelés à disparaître dans une spirale multiculturelle où l’autre est angélisé, voire sanctifié.
Les européens autochtones sont porteurs d’une civilisation, laquelle résulte d’une évolution millénaire, et le remplacement de cette branche de l’humanité par des immigrants venus d’autres continents conduit à la disparition de cette civilisation.
Or les européens de souche, selon les Droits de l’homme qu’ils ont inventé, ont le droit de préserver leur existence, leurs spécificités, leur avenir dans une civilisation qui resterait européenne, avec ses propres spécificités.
C’est la diversité des peuples qui est une richesse pour l’Humanité et non son uniformisation, fruit d’une pensée progressiste contredite par toute l’histoire des hommes.
- Pourquoi seuls les pays européens sont-ils sommés de renoncer à leur racine, leur culture, leur histoire ?
- Pourquoi seuls les européens de souche sont-ils invités à se diluer dans un métissage imposé par leurs dirigeants ?
- Pourquoi refuse-t-on aux européens de souche, et à eux seuls, le droit de continuer à exister dans leurs diversités ?
- Pourquoi seul le continent blanc et chrétien doit-il disparaître dans toute sa belle diversité, être dissous dans un métissage imposé ?
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Pourquoi, si ce n’est que les européens l’acceptent docilement et que les artisans de cette disparition n’ont aucune raison de se calmer.
Croire qu’une société métissée puisse être pacifique est une gravissime erreur, une utopie dangereuse, un rêve chimérique.
Après la monarchie de droit divin, nous voilà dans l’ère du multiculturalisme de droit divin, réservé au seul continent européen.
Sans être insensibles aux tragédies des vrais réfugiés, nous sommes en droit de nous poser des questions, car cet exode sans fin aura inéluctablement des conséquences funestes ; soit le génocide des européens de souche, dilués dans le chaudron multiculturel se poursuivra dans l’indifférence des peuples, soit ces derniers se réveilleront et prendront leur destin en main.
Le déclic viendra peut-être des pays de l’Est, beaucoup plus réticents à se laisser dissoudre dans le magma de la multiculturalité et à accepter l’islamisation de leurs pays.
Peut-être…
Source : © Rosaly pour Dreuz.info.