Le monde animal est ce qu’il y a de plus vrai et de plus semblable au monde humain. Malgré nos airs d’êtres intelligents et supérieurs, notre bêtise nous ramène bien souvent et lamentablement au degré du mammifère que nous côtoyons sur cette planète.
La société actuelle a de drôle de principes. Elle établit des institutions, forme des individus, contredit les idéaux qu’elle a elle-même mis en place et décide bien souvent de ne plus recourir à une main-d’œuvre issue de ses formations tout azimut, préférant des novices, des naïfs et profanes de tout horizon liés soit par des liens de sang ou par le biais du sempiternel copinage décrié, injuste et bien souvent illégal.
La vérité est que ce genre d’attitudes ou de politiques dont toutes les sociétés dites évoluées se sont trouvées tant bien que mal coupables quoiqu’à degrés bien variables, alimentent et encouragent l’émergence d’un autre univers souterrain, celui des aigris, des individus capables, qualifiés, mis sur la touche mais dotés bel et bien d’un pouvoir indéniable capable de renverser la vapeur, les valeurs aussi.
Un jour, un individu osa et ce fut la secousse
Dans bien des cas, on assiste très souvent dans la plupart des pays où sévissent corruption, démagogie, dictature, non respect des droits de l’homme, au même titre qu’une vulgarisation de la brimade sociale et du crime impuni, une réelle volonté d’une loi à deux vitesses, tel que l’immunité diplomatique qui frustre toute personne éprise de justice. De même, on a aussi vu des individus hautement qualifiés se retrouver en bas de l’échelle de la société, croupir dans l’anonymat ou la misère noire, cela pour le simple tort d’appartenir à une ethnie, une région, une couleur de peau, ou ne partageant pas les mêmes opinions. Seulement, ce genre d’exclusion n’est pas sans conséquence, quel que soit le pays, le lieu ou la société dans laquelle on évolue. Le cas de Julian Assange avec la très célèbre polémique Wikileaks est là pour le prouver. Il a fouiné, intercepté et a éternué ; c’est toute la diplomatie internationale qui chope la crève, se sent mal, et se met à traquer l’individu, le coincer pour ensuite le trouver non coupable d’un quelconque délit convenu comme tel : Dura lex sed lex ! Relâché par la justice britannique, Julian Assange affirme que sa vie, surtout du côté de l’oncle Sam, reste en danger. Drôle de monde, en vérité.
Le travail souterrain de ce personnage a permis de mettre à jour bon nombre de faits déjà sus et soupçonnés. Des faits, il faut aussi le souligner, incriminent et condamnent les commanditaires tous trempés dans une série de complots que l’on tait de tout temps et de façon complaisante. Si la loi établie par cette même société toute pensante ne permet aucun chef d’accusation ou condamnation, la grande polémique Wikileaks qui clôture cette année 2010 révèle au grand jour le bout de l’iceberg sur un monde contemporain siégeant sur du non-dit, du faire-faire et aussi faire-croire. Il semble évident que leur machine pour la mise en place d’un nouveau monde selon leur conception est bel et bien en marche : le nouvel Ordre Mondial. Il n’est pas étonnant que le chaos, tel programmé, ne frappe que certains territoires, certaines couches sociales et certains peuples bien ciblés.
Un proche avenir plein de rebondissements. Nettoyage en vue ?
N’a-t-on jamais parlé de période de grandes révélations ? Nous y sommes à présent ! En vérité, cette époque tant décrite et si attendue, et durant laquelle même les glaciers de l’antarctique dévoilent peu à peu leurs secrets, était souvent redoutée. Cette époque semble bien coïncider avec la célèbre et tristement connue apocalypse. Si de nos jours la nature se déchaîne de plus en plus autour de nous, si des menaces météorites s’annoncent et se confirme ça et là, que la terre va jusqu’à perdre la boule dans tout le sens du terme, tous ces faits et prédictions semblent converger vers un seul but : secouer le cocotier où s’est nichée une grappe de vipères, toutes aussi dangereuses, nocives et cruelles les unes les autres ; de véritables loups au pied de l’arbre malgré la peau d’agneau qu’ils ont tous revêtue au fil des temps. L’année qui débute ne sera que le début d’autres révélations plus fulgurantes et foudroyantes que jamais, et des évènements aussi redoutables que jamais auparavant. Il faut s’y attendre. Je fais ici abstraction de tous les complots connus, tus et soupçonnés qui régentent la vie humaine. Un bien triste calendrier humain, confirmant la fiabilité du célèbre calendrier Maya. Observez simplement le ciel et la nature dans leurs remous, quasiment en effervescence.
Comme quoi, on a beau faire le pitre, jouer le plus futé, malin, excellent stratège et manipulateur à l’infini, il y a une évidence dont on ne devrait tous pas perdre de vue ici bas et se souvenir continuellement: quatre vingt dix neuf jours pour le voleur, un jour pour Le Propriétaire.
Un mal pour éradiquer le gros mal
Que fait-on lorsqu’un être cher a été diagnostiqué d’un mal qui le ronge au point de le clouer au lit, et que la seule hypothèse de le soigner resterait une intervention chirurgicale ? On serre les dents et on le passe sur le billard, affrontant peurs, douleur et inquiétudes. Pour un bien et pour l’amour pour ce membre de la famille, l’homme sensé recommanderait immédiatement une intervention chirurgicale afin d’éradiquer le tissu, le corps étranger ou la cellule maligne décelée et localisée au sein du cerveau, du cœur ou du genou. Un mal pour un bien, voilà l’évidence pour une terre malade et contaminée jusqu’à la moelle épinière. Ne nous voilons pas la face, c’est bien la triste réalité et à laquelle nul ne peut de nos jours véritablement échapper.
Il faut certes continuer à vivre, agir, rêver et garder l’espoir. Mais on est bien loin du bon compte idéologique qui devrait faire de tous les habitants de cette planète des êtres libres, souverains et enclin à la paix, l’amour, l’égalité et la véritable joie de vivre. Le paradis sur terre ? Sur la lune, Mars, Mercure, venus ou bien Orion, Sirius, les Pléiades, Xena, Pluton, Nibiru, Neptune, Uranus, Saturne, Jupiter…. ? Ce n’est pas demain la veille. L’avenir est incommensurable, les surprises bien loin de nos soupçons, de notre conception si limitée.
A bon entendeur, salut !
Fumu BIPE, B’kulu Vandhu