Dans ce métier, il faut savoir reconnaître ses torts!
Dans notre édition de ce jour 27 mars, des erreurs d’interprétations de certains faits non totalement exacts se sont glissés dans l’article qui a fait la grande “Une” et qui est consacré au président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, saint Soro Guillaume. Notamment son absence à l’accueil de François Hollande le 17 juillet dernier. Nous avons à présent l’entièreté des détails au sujet de l’information livrée aujourd’hui et qui est à des égards, incomplète. saint Soro Guillaume était bien à l’accueil, au dernier moment, du président français, des photos en font foi. Mais des éléments sur l’agenda des rencontres du président Hollande à Abidjan ont provoqué ce qui deviendra par la suite une vraie affaire d’Etat dont la résolution a été le déplacement à Abidjan, trois mois après François Hollande, du Président de l’Assemblée Nationale français, Claude Bartolone, un fait qui est de notoriété publique au sein du parlement ivoirien.
Peut-être que l’armée de communicants de saint Soro Guillaume va adresser (et ce serait une excellente chose) un virulent droit de réponse à “L’Éléphant Déchaîné”, droit de réponse dont nous imaginons déjà la teneur et auquel la loi nous fait obligation de ne pas répondre ni commenter, dans notre édition de mardi prochain. Mais dans celle du vendredi prochain, si toutefois ce droit de réponse arrive pour le journal du mardi, nous reviendrons dans les détails sur ce qui s’est passé et nous livrerons le contenu de l’agenda de François Hollande à Abidjan et ce que cela a provoqué au sommet de l’Etat. Si ce droit de réponse n’arrive pas pour l’édition du mardi, nous reviendrons donc sur ce dossier avec les dernières informations…
La rédaction de l’infernal pachyderme tenait à prévenir à l’avance, ses lecteurs pour la suite de ce dossier et les rassure qu’elle dispose de tous les éléments pour riposter plus tard, en fonction de la réaction qui suivra.
Fait le vendredi 27 mars 2015: La Conférence de rédaction.